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observatoire de formes humanoide
2 août 2014

aujourd'hui le 8 Muluc ou 2 août 2014

8 : le cercle infini.

Muluc : l’eau, la lune, les émotions.

©nasa

La forme humanoïde expérimente l’agitation au plus haut degré.

Le contraire de calme c’est agité, comment alors la forme humanoïde peut-elle  croire prendre de bonne décision si son cœur est agité par le bâton du mental.

Imaginé un lac bien calme,

Puis vous arrivé 

 

vous ,vous représenté le mentale vous jetez dans le lac des pierres qui eux représentent vos toutes vos pensé que vous ne contrôlez pas et qui vous traverse, vous crée alors des vagues des ondes qui ce disperses sur toute la surface du lac .comment vous- les vous voir votre reflet à travers cette eau et le reflet du ciel à travers toute cette agitation que vous faites vous même. C’est impossible.

La forme humanoïde doit se tenir immobile si elle veut pouvoir voir chaque détail de la nature à travers ce reflet. On peut alors appeler ça, avoir le cœur immobile.

 Voici quelque pierre sous forme d'info que la forme humanoïde jette en ce moment.

 

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Neuf obus ukrainiens tirés, selon les données préliminaires, depuis le système lance-roquettes multiples Grad, ont explosé sur le territoire de la région de Rostov, a déclaré un représentant du Service russe des gardes-frontières.

 

L'incident n'a pas fait de blessés.

La région de Rostov est frontalière avec le Donbass ukrainien. Des combats entre les forces sécurité et les miliciens ont lieu dans cette zone. Les postes-frontières russes dans la région de Rostov ont été à plusieurs reprises pilonnés de la part de l'Ukraine.

 


 

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Au moins 185 Palestiniens ont été tués dans les bombardements israéliens dans la bande de Gaza au cours des 24 heures après l'échec de l’armistice, déclarent les médecins locaux.

C’est la ville de Rafah, située près du site de la capture présumée d'un officier israélien, qui compte la plupart de victimes. Les unités d'artillerie et de l’aviation ont détruit des districts résidentiels entiers dans le but d’empêcher les ravisseurs d’échapper, rapportent les Palestiniens.

La « trêve humanitaire », convenue avec la médiation des Etats-Unis et de l'ONU, aurait dû durer trois jours, mais n'a pas duré deux heures.


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 La ville de Lougansk se trouve au bord d'une catastrophe humanitaire, a rapporté le Conseil municipal. Cette ville ukrainienne connaît une pénurie d’électricité, d'eau, de communications, les stocks des produits et des médicaments s’épuisent.

Il n’y a pas d'essence, de diesel et de gaz à Lougansk. Les services d’ambulances, d'urgence, du ministère des Situations d'urgence, ainsi que les services publics, le transport public urbain, y compris des véhicules qui livrent du pain et des aliments, ne peuvent pas faire le plein d'essence, note le Conseil municipal.

Le trafic ferroviaire est suspendu, il n’y a pas de moyens pour sortir de la ville, parce que les autorités de Kiev n'ont pas assuré la création d'un corridor humanitaire


 

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Alors que le virus Ebola a déjà fait plus de 1200 morts en Afrique de l’Ouest, « il y a un réel risque de voir de nouveaux pays touchés », selon MSF. Le Liberia a fermé toutes ses écoles.

L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest est hors de contrôle, avertit le directeur des opérations de l’organisation Médecins sans frontières (MSF) dans un entretien publié mercredi par La Libre Belgique.

« Cette épidémie est sans précédent et la situation ne fait qu’empirer, puisqu’elle s’étend encore, surtout au Liberia et en Sierra Leone, avec des foyers très importants », déclare Bart Janssens.

Plus de 1200 cas

« Nous n’avons jamais connu une telle épidémie », estime le responsable. « Si la situation ne s’améliore pas assez rapidement, il y a un réel risque de voir de nouveaux pays touchés », selon lui.

L’épidémie, en cours depuis le début de l’année, s’est déclarée d’abord en Guinée avant d’affecter le Liberia puis la Sierra Leone, deux pays voisins qui, au 23 juillet, totalisaient 1201 cas dont 672 mortels, selon le dernier bilan de l’OMS.


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En direct de Gaza
Samedi 26 juillet 2014
Il est 19 h à Gaza
1000 morts à Gaza, et ça continue !
Ziad Medoukh

L’armée israélienne a tué 20 Palestiniens partout dans la bande de Gaza ce matin avant le début de la trêve humanitaire 
L’armée israélienne viole cette trêve et continue à bombarder, notamment au nord de la bande de Gaza
L’hôpital de Beit Hanoun au nord de la bande de Gaza a été bombardé.
Les secouristes ont sorti plus de 100 cadavres sous les décombres
C’est terrible !
Les Palestiniens de Gaza sont en train de constater l’ampleur de la destruction massive
C’est horrible !

- Toujours deux heures d’électricité par jour pour chaque foyer
Le bilan s’alourdit au dix-neuvième jour de l’offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza et sa population civile :
- 1020 morts palestiniens jusqu’à cette heure-ci, dont 200 enfants, 110 femmes et 83 personnes âgées suite à des bombardements israéliens en dix-neuf jours.
- 5250 blessés lors de ces bombardements aveugles de l’armée de l’occupation israélienne, dont 690 femmes et 1100 enfants 
- Plus de 4750 raids israéliens en dix neuf jours partout dans la bande de Gaza
Quelle horreur !
- 1340 maisons ont été détruites suite à ces bombardements aveugles
- 99 mosquées ont été détruites 
C’est terrible !

Gaza sera toujours debout !
Gaza résiste, Gaza existe et Gaza persiste !
Palestine vivra, Palestine vaincra !
Amitiés de Gaza sous les bombes
Ziad


 

Les États-Unis ont confirmé mercredi avoir réapprovisionné Israël en munitions, quelques heures après avoir fermement condamné l'attaque d'une école de l'ONU à Gaza. 

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L'armée israélienne avait demandé un réapprovisionnement le 20 juillet afin de remédier à la baisse de ses stocks, a indiqué le Pentagone. Le ministère américain de la Défense a approuvé la vente trois jours plus tard. « Les États-Unis se sont engagés à garantir la sécurité d'Israël, et il est crucial pour les intérêts nationaux américains d'aider Israël à développer et à maintenir une capacité d'autodéfense forte et réactive », a déclaré John Kirby, un porte-parole du Pentagone, dans un communiqué. 

« Cette vente d'armement est cohérente avec ces objectifs », a-t-il estimé. Une partie des munitions provient d'un stock entreposé par l'armée américaine sur le sol israélien à l'usage de Tsahal pour les cas d'urgence, d'une valeur d'environ un milliard de dollars (746 millions d'euros). John Kirby a souligné que ces munitions étaient stockées là « depuis plusieurs années, bien avant la crise actuelle ». 

« La décision de délivrer des munitions à partir de ce stock était purement ministérielle et ne nécessitait par l'approbation de la Maison Blanche », a-t-il précisé. Mais le porte-parole n'a pas dit si la Maison Blanche avait été impliquée dans la décision de vendre l'autre partie des munitions délivrées à Israël.

 


 

Depuis le crash tragique du vol 17 de la Malaysia Airlines, personne n’a semble-t-il entrepris de répondre à la demande des Russes, celle qu’ils ont formulée lorsqu’ils ont présenté leurs éléments sur les circonstances ayant immédiatement précédé la chute du Boeing 777. Les États-Unis, notamment, n’ont fourni aucune image satellite, aucun suivi radar. Seulement des documents non probants (car presque aussitôt réfutés) issus des médias sociaux et d’internet. Etonnant… Et peu digne d’une grande puissance militaire devenue le « gendarme du monde » et le « gardien de l’Europe ». Au point quasiment d’établir l’inverse de ce qu’ils affirment.

Le leader de l’Otan dispose, on le sait, d’un des meilleurs systèmes de surveillance aérienne au monde, et sans doute du plus étendu (spécialement avec la présence de navires de guerre bardés d’électronique en Mer Noire, depuis le début des hostilités dans l’est de l’Ukraine). Difficile donc de croire qu’aient pu lui échapper les événements que ses représentants ont mis en avant : mise à disposition de batteries de missiles anti-aériens de grande taille par les Russes, transport et utilisation desdits matériels par les « séparatistes pro-russes », suivis d’une évacuation des armes du crime vers ceux-là mêmes qui les avaient fournies.

Pourquoi donc ne pas présenter cette ou ces images qui feraient taire, une bonne fois pour toutes, la contestation des thèses étatsuniennes, lesquelles sont reprises en cœur et sans autre forme de curiosité journalistique par le consensus des médias grand public occidentaux, aussi peu curieux qu’ils sont tonitruants ?

 

 


Si le procédé surprend, il n’est pas nouveau. On se souvient sans doute de cet « objet » étrange qui a frappé le Pentagone, le 11 septembre 2001, et dont on nous dit qu’il s’agissait d’un avion détourné. Alors que par sa taille et son poids, la chose semble plus que difficilement imaginable : il aurait percuté le bâtiment selon un angle incroyable, sans érafler aucune des pelouses, ni heurter aucun des réverbères, avant de s’encastrer dans sa cible sans y laisser la trace de ses ailes, sans y laisser rien de lui-même, à vrai dire, puisque l’on nous explique sans rire qu’il se serait étonnamment dissous et volatilisé après l’impact.

 

Les arguments de ceux qui faisaient valoir qu’il s’agissait vraisemblablement là de la frappe d’un missile de croisière ayant été écartés impitoyablement, on attendait les éléments établissant la version de l’« avion ». Ces éléments étaient d’autant plus faciles à fournir que l’objet en question, quel qu’il fût, serait passé devant plusieurs caméras de surveillance, et, notamment, devant celles d’une station-service, dont le FBI avait sans délai récupéré les bandes. Un simple extrait vidéo, même limité au seul passage de l’avion (une affaire de secondes), et la question était réglée. Las, l’occasion de faire taire enfin les thèses « conspirationnistes » ne fut pas saisie. En treize années, aucune image, même brève, ne fut produite. Forçant chez plusieurs un raisonnement à rebours : si les images dont on dispose forcément ne sont pas présentées, ce ne peut être que parce que…

La presse grand public est dotée de capacités d’amnésie hors du commun, et toute la vilaine histoire a depuis longtemps pris pension aux oubliettes médiatiques, dont c’est justement le rôle que de faire perdre de vue ce qui n’est plus souhaité. Elle y dort paisiblement.

…d’autres s’en viennent

Les séparatistes pro-russes (aidés par les Russes, qui en portent l’inexpiable responsabilité) sont donc à l’origine du crash de l’avion malaisien, scandaleusement abattu par un missile anti-aérien de type SA-11 (BUK M1). Haro sur eux, puisque tout est clair (l’avantage des vérités révélées sur les longues et fastidieuses recherches). Les affirmations russes de la présence d’au moins un avion SU-25 à proximité du vol 17 n’étaient donc qu’affirmations mensongères, comme l’étaient les messages du contrôleur aérien Carlos qui témoignait de la même chose (si d’aventure ce Carlos a même jamais existé).

On comprend mal pourquoi les enregistrements du contrôle aérien de Kiev (qui a fait dévier le vol civil pour l’amener sur une route plus au nord qu’à l’accoutumée, c’est-à-dire passant au dessus d’une zone contrôlée par les pro-russes) devaient de toute urgence être confisqués par le SBU ukrainien, mais qu’importe. Et s’ils n’ont pas reparu, c’est sans incidence. Tout comme l’offensive de ceux qui, sur zone, poursuivent une opération anti-terroriste (ATO) qui ne permet plus aux experts de pouvoir véritablement travailler.

Voilà le contexte dans lequel viennent s’inscrire, tout à trac, l’apparition d’images qui ne sont pas du tout celles que l’on attendait (aïe !…) et les observations des experts allemands qui les ont examinées. A peine avait-on cessé de croire à l’arrivée de Grouchy que Blücher s’annonce.

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Et voici que reviennent en mémoire ces premiers témoignages, ceux des habitants vivant à proximité de la zone du crash, qui faisaient état de plusieurs détonations dans le ciel et, souvent, mentionnaient la présence d’au moins un, parfois deux avions de plus petite taille.

Revoici à nouveau sous les projecteurs les explications de l’état-major des forces armées russes, lors de sa présentation, qui, en se basant sur des échos et suivis de radar, affirmait la présence d’au moins un Su-25 à moins de 5 km (entre 3 et 5 km, disait-il) du vol MH17. Précisant même qu’il s’agissait d’un signal radar simple (sans identification secondaire, donc d’un vol militaire). « On a observé la montée d’un avion ukrainien SU-25 en direction du Boeing malaisien, qui se trouvait alors à une distance de 3 à 5 km. Le Su-25 peut atteindre une altitude de 10.000 mètres. Il dispose de missiles air-air qui peuvent tirer jusqu’à 12 km et garantissent la destruction d’un objectif jusqu’à 5 km », avait clairement affirmé le lieutenant-général Andreï Kartapolov.

C’est en effet que plusieurs éléments de l’épave du Boeing semblent bien présenter ce qui ressemble à… des impacts de balles. Des traces de balles de canon automatique de calibre 30, tel que le canon qui équipe les SU-25, pour être précis. Ne pourrait-il pas s’agir aussi bien de shrapnells provenant d’un missile sol-air BUK ? Apparemment pas ! Certains éléments photographiés révèlent clairement des perforations rondes entrantes, en même temps que des orifices aux bords déchiquetées vers l’extérieur, et cela sur les mêmes éléments de carlingue. Cela indiquerait soit un tir croisé par deux avions de chasse, soit l’explosion d’un missile complétée par des tirs.

Il y aurait donc deux armes du crime. Ce n’est pas du tout la version occidentale entendue jusqu’ici…

C’est néanmoins ce qu’un ancien pilote allemand, expert en technologie aérienne, Peter Haisenko, vient de publier sur le sujet : « Si l’on regarde l’image de ce fragment de cockpit, cette image est certainement choquante. On y voit dans la zone de l’habitacle des traces de perforations par balles aussi bien en entrée qu’en sortie. Aucune spéculation ici, mais l’analyse de faits clairs : le cockpit montre des preuves manifestes d’impacts de balles. Vous pouvez voir les trous d’entrée et certains points de sortie. Les bords des orifices d’entrée sont repliées vers l’intérieur, les trous sont beaucoup plus petits et de forme ronde. Le calibre est de 30mm. Les orifices de sortie sont moins bien formés et les bords en sont déchirés vers l’extérieur.

En outre, il est visible que les trous de sortie ont déchiré la double épaisseur d’aluminium et ont plié le métal vers l’extérieur. Ce qui veut dire que les éclats ont été projetés de l’intérieur de la cabine vers l’extérieur. On constate également que les rivets ouverts ont, eux aussi, été pliés vers l’extérieur. Une seule conclusion s’impose : c’est que l’avion n’a pas été touché par un missile. Les dommages infligés à l’aéronef sont par ailleurs uniquement circonscrits au poste de pilotage… ». [1]

Calibre 30 mm… Comme l’armement du Sukhoï SU-25, qui est équipé d’un canon de 30 mm type GSch-302/AO-17A, tirant des obus explosifs à éclats (le Sukhoï est approvisionné pour 250 coups). Ou plutôt comme l’armement de DEUX Sukhoï Su-25, puisque l’on relève des traces d’entrée et de sortie de balles sur le même côté, ce qui montre que le cockpit du MH17 a été touché de DEUX côtés.

Dmitry Travkin [1] a présenté un photomontage présentant la pièce de l’avant du fuselage, telle qu’elle a été retrouvée sur le site du crash, à la place qu’elle devait occuper sur la carlingue du Boeing, et reconstituant la trajectoire des projectiles qui ont frappé à la fois le coin de la vitre de cockpit et l’extrémité de l’aile gauche de l’appareil.

On remarque instantanément qu’il ne s’agit pas là de l’effet typique d’un missile anti-aérien tel que le BUK, à savoir un cône de détonation, lequel aurait projeté ses éclats de façon nettement plus dispersée. Mais qu’il s’agit bien plutôt d’un tir de canon.

Des feux après l’impact au sol, et non avant !

Bernd Biederman, colonel en retraite et spécialiste des missiles de défense anti-aérienne, est pour sa part d’avis que le Boeing de la Malaisie « n’a pas pu avoir été touché par un missile de défense aérienne sol-air ». C’est ce qu’il vient d’écrire dans un article publié par le quotidien Berlinois « Nouvelle Allemagne » (édition du jeudi), faisant remarquer que si l’avion avait été touché par les éclats d’un missile sol-air, il aurait immédiatement pris feu « du fait de l’énorme chaleur de friction que les éclats génèrent en pénétrant le fuselage. » Un seul éclat contient la même énergie cinétique qu’un wagon de chemin de fer de 40 tonnes percutant les tampons à 60 kilomètres à l’heure, souligne-t-il. « Dans le cas du Boeing Malaisien, on a pu voir que des feux épars avaient éclaté après l’impact au sol, car les débris chaud de l’avion étaient entrés en contact avec des matériaux combustibles. » [1]

Biedermann est un familier de la technologie soviétique et russe de défense aérienne : comme officier, il a dirigé des unités de missiles anti-aériens au sein des forces de l’Allemagne de l’Est, avant d’enseigner ce domaine à l’Académie militaire qui formait les troupes de défense anti-aérienne.

« Les impacts sur le morceau de carlingue semblent mieux correspondre au tir du canon de 30 mm du Frogfoot (nom de code Otan du SU-25) qu’à des éclats de missile », relève pour sa part Jacques Sapir. [2] « Ces derniers sont – en général – nettement plus dispersés, sauf si l’explosion de la tête du missile a eu lieu à toute proximité de la cible (probablement moins de 5 m). La tête du missile BUK contient de l’explosif et des petits cubes d’aciers au sein de l’explosif. La détonation provoque un cône d’éclats. Si le missile détonne à 10 m-15 m de la cible, le cône est déjà formé. Si le missile détonne à moins de 5 m, les éclats peuvent par contre être groupés. »

Lorsque l’on sait qu’un ou même deux SU-25 ont accompagné le Boeing pendant plusieurs minutes, les choses ne peuvent manquer d’apparaître sous un jour différent de celui que l’on nous avait tout d’abord présenté. Même si l’on sait aussi que l’Armée ukrainienne avait déployé des missiles BUK dans la région de Donetsk, craignant semble-t-il une attaque aérienne russe contre ses forces engagées dans l’est du pays, en représailles aux tirs qui avaient frappé à de multiples reprises des postes frontière de la Fédération de Russie (le gouvernement russe avait menacé l’Ukraine de « frappes ciblées »).

Quant au SU-25, s’il n’est pas à proprement parler un chasseur, mais un appareil d’attaque au sol, il pouvait néanmoins monter suffisamment haut pour se trouver à portée de tir missile (missile air-air R-60)… ou de tir canon.

Et Jacques Sapir de noter : « L’enquête a pour l’instant révélé que l’équipage a été mis hors de combat quasi-instantanément. Cela est cohérent avec la thèse de l’hypoxie suite à une dépressurisation brutale du cockpit, comme avec celle d’un équipage massacré, soit par des obus soit par des éclats de missiles. »

Et d’observer : « Si ce sont bien des obus du canon de 30-mm qui arme le SU-25, ces derniers sont composés d’uranium appauvri. La radioactivité résiduelle devrait donc être détectable sur les débris. » Wait and see.

Reste que si l’avion a bien été abattu par un ou plusieurs tirs de canon de 30 mm, il ne saurait plus longtemps être question de l’hypothèse d’un tir accidentel de missile. Les pilotes de chasse ne se recrutent pas dans les bars chez les fantaisistes. Pas plus que les Sukhoï 25 ne volent en haute altitude sans raison.

« Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre, Horatio, que n’en rêve votre philosophie. »

Quant au Département d’État des États-Unis, il vient de changer sa position, passant d’un crime de Poutine à un « accident tragique ». Sans que l’on sache s’il compte également modifier prochainement ses précédentes allégations : celles relatives aux photos (récupérées sur Twitter) qu’on nous affirmait être celles d’un BUK des séparatistes s’enfuyant en Russie après son forfait, comme celles qui se rapportaient à certains extraits audio (récupérés sur Youtube), où, nous expliquait-on, des rebelles pro-russes auraient tenu conversation au sujet d’un avion qu’ils venaient d’abattre (avant que de comprendre qu’ils avaient en fait, à tort, cru l’avoir abattu).

Verra-t-on un jour quelque image satellite sérieuse ou quelque relevé de suivi radar réellement parlant de la part de Washington ? Cela est pour le moins douteux. Tout au plus, peut-être, un enregistrement du MIG personnel du président russe, avec Igor Strelkov à ses commandes, survolant le village de Grabove quelques minutes après le crash du Boeing (si le montage vient à être posté un jour sur Facebook).

Goklayeh, pour vineyardsaker.fr


Deux tiers des poulets vendus au Royaume-Uni sont contaminés par le Campylobacter, une bactérie qui peut provoquer des intoxications alimentaires potentiellement mortelles, selon une enquête du Guardian.

 

Img/LeGardian

Des images filmées en caméra cachée et des informations de lanceurs d’alerte montrent comment les critères d’hygiène destinés à éviter la prolifération de la bactérie sont mal respectés. Les documents montrent notamment que « les intestins, les abats et les plumes – où cette bactérie prolifère – s’entassent sur le sol des usines suite à des pannes répétées des drains de vidange », et que des poulets « tombés par terre sont ramassés et remis dans les chaînes de traitement ». Suite aux révélations du journal, trois chaînes de magasins – Tesco, Marks & Spencer et Sainsbury’s – ont annoncé leur intention de mener des contrôles supplémentaires…..

[...]

Acide lactique et congélation

Selon un professeur cité par The Guardian, « le Campylobacter est très difficile à maîtriser, et on constate que [la contamination de la bactérie] au Royaume-Uni est la même que partout dans le monde ». Seuls des produits chimiques ou la congélation pourrait stopper la contamination, selon l’expert.

The Guardian note qu’aux Etats-Unis les carcasses de poulets sont traitées avec un spray d’acide lactique. « Ce type de traitement chimique rencontrerait une forte résistance de la part des consommateurs britanniques, même si les études scientifiques montrent qu’il s’agit d’un procédé sûr », selon le journal. Il précise que ni l’utilisation d’acide lactique ni les sprays antimicrobiens ne sont autorisés au sein de l’Union européenne. ( Ca risque de changer avec TAFTA)

Une autre technique consiste à surgeler la surface des poulets en utilisant de l’azote liquide, explique le quotidien……


La coupe du monde au Brésil était une honte, humainement parlant, et celle du Qatar ne s’annonce pas mieux!!! À quand un peu d’éthique avec la FIFA? Tant que cela rapporte de l’argent, je pense que nous ne sommes pas prêts de voir cela…

FIFA-Slavery

Les ouvriers travaillant à la construction du stade d’Al-Wakrah au Qatar, l’une des enceintes destinées à accueillir des matches du Mondial-2022, sont payés 57 centimes d’euro de l’heure et travaillent jusqu’à 30 jours par mois, a révélé le quotidien «The Guardian» mercredi.

Selon le journal britannique, une centaine de travailleurs sont concernés. «The Guardian» affirme, citant des ouvriers, que les passeports des ouvriers leur ont aussi été retirés par leur manager, et ce en contradiction avec la charte émise par les organisateurs du Mondial-2022. En février, le Qatar avait en effet annoncé une série de mesures pour protéger les ouvriers sur les chantiers des stades après les accusations d’esclavagisme. Le pays était alors accusé depuis plusieurs mois d’esclavagisme et de travail forcé d’ouvriers népalais, morts sur les chantiers. Un scandale déjà révélé par «The Guardian».


«Il y a des difficultés pour calculer les heures supplémentaires et nous travaillons avec l’entreprise pour rectifier toute infraction», a déclaré au quotidien un porte-parole du comité d’organisation.

Depuis l’attribution en 2010 de l’organisation du Mondial-2022, le Qatar fait l’objet de vives critiques de la part des organisations des droits de l’Homme et syndicales qui dénoncent le sort réservé aux travailleurs étrangers.

Article complet sur Le Parisien


JAMAIS nous ne serons assez informés sur le traité transatlantique actuellement mis en place!!! Et si celui-ci est confidentiel et relativement complexe au vu du nombre de paramètres négociés entre l’UE et les USA, il y a certains « dossiers » qui ressortent plus que d’autres… Bien sur, il y a le TISA qui signifie que le chômage va exploser, mais il y a également le TAFTA, une aberration décrite dans ce documentaire indépendant réalisé sur une période de 1 an grâce entre autre au financement participatif, par Paul De Bary. 

En 2015, l’Union Européenne prévoit de conclure avec les Etats-Unis un accord multilatéral nommé le TAFTA. Ce traité s’avère très dangereux pour les citoyens de tous les pays européens comme pour les américains. Après une rétrospective historique du capitalisme européen, ce documentaire décrit les tenants et aboutissants de ce grand marché transatlantique.

 

Et ce n’est que quelque pierre que la forme humanoïde balance dans l’eau, les énumérée toutes est inutile vous voyez bien de vous même la forme que prend le monstre dans l’eau. 

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