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observatoire de formes humanoide
20 septembre 2014

5 Etznab ou le 20 septembre 2014.

 

5 : le pouvoir

Etznab : le miroir.

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Mots clefs : Pratique, social, manichéen, difficulté dans les relations humaines, tendance à l’auto-sacrifice.                            

Défi de vie : Régler des conflits plutôt que les déclencher.                     

Solution de vie : Cultiver l’harmonie.

Ce que reflète en ce moment la forme humanoïde ,sous forme de page presse.

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La censure du web, c'est maintenant.

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L'Assemblée nationale a voté jeudi matin le projet de loi "lutte contre le terrorisme", porté par Bernard Cazeneuve sous l'impulsion de Manuel Valls. Le ministre de l'Intérieur a fait adopter, dans un grand exercice d'acrobatie politique, l'article 9 qui prévoit le blocage des sites internet par l'exécutif, sans décision préalable du pouvoir judiciaire : une mesure contre laquelle il avait voté lorsqu'il était député et que l'UMP l'avait proposée en 2010. Cette mesure était soutenue par les groupes PS, UMP, UDI ou encore SRC, illustrant bien l'éternel fantasme de contrôle d'Internet qui rassemble droite et gauche, dans un consensus plus que perturbant.

"Nous sommes là pour être utiles à la République en la protégeant du terrorisme", a expliqué dans la nuit de mercredi à jeudi Bernard Cazeneuve, faisant fi des dures critiques venant de quelques députés de tous bords, ceux qui s'impliquent depuis des années dans les dossiers numériques. Las ! En dépit de toute logique, en dépit des contresens criants, l'Assemblée a validé le texte du gouvernement.

La suite de l'article sur le site lepoint.fr


Gorbachev sur l’Ukraine : le terrible massacre qui attend l’Europe

 

Mikhaïl Gorbatchev, ex président de l’URSS croit qu’il est crucial de rétablir le dialogue entre Moscou et Washington de manière à résoudre le conflit ukrainien car leur rôle et leur responsabilité y sont particuliers. Précédemment, Gorbatchev déclarait que l’Europe pourrait faire face à un « massacre terrifiant » en raison de la crise actuelle en Ukraine. Selon lui, « il y a trop de choses en jeu, les dangers et les risques sont trop élevés ».

Mikhaïl Gorbatchev vient de finir d’écrire un nouveau livre qui sera publié prochainement. Intitulé « Après le Kremlin », ce livre aborde les évènements survenus en Russie et dans le monde depuis les deux dernières décennies. Dans l’épilogue du livre, Gorbatchev a écrit que la raison profonde de ce qui se passe actuellement en Ukraine fut l’échec de la Perestroïka et la « dissolution opportuniste de l’URSS ». Gorbatchev en rend responsable l’administration  d’alors.

« Dois-je vous rappeler qu’au même moment, les dirigeants ukrainiens sabotaient les processus de transformation de l’Union – à la fois avant le coup d’état d’août 1991 et après celui-ci, en dépit du fait que la majorité des républiques avaient coordonné le texte du traité de l’Union » a ajouté Gorbatchev.

La suite sur le site reseauinternational.net


 

Des néonazis en Ukraine ? Si vous en doutiez encore…

Une chaîne de télévision norvégienne a filmé dans le sud-est de l’Ukraine une vidéo montrant des soldats du bataillon ukrainien Azov qui portent des casques frappés de symboles nazis, théoriquement interdits ce pays.

La chaîne allemande de télévision ZDF a fait une brève référence, le 8 septembre 2014, à la vidéo diffusée par la chaîne norvégienne.

 

 Sur la vidéo enregistrée par la station norvegienne TV2, les telespectateurs peuvent distinguer clairement au moins 2 soldats ukrainiens dont les casques sont frappés de l’emblème des SS [1] et de la croix gammée nazie.

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« Nous étions en train de filmer un reportage sur le bataillon Azov ukrainien dans la ville d’Ouzouf, dans l’est de l’Ukraine, lorsque nous avons vu ces soldats », explique le correspondant de TV2 Oysten Bogen dans une interview accordée a NBC News.

Bogen a précisé que quelques minutes avant de filmer ces images il avait demandé à un porte-parole du bataillon Azov si cette unité, récemment incorporée à l’armée ukrainienne, n’était pas composée d’éléments plus ou moins fascisants. « Pas du tout, nous ne sommes que des nationalistes ukrainiens », lui avait-on répondu.

Cependant, il est de notoriété publique en Ukraine que le bataillon Azov, largement utilisé contre les séparatistes, est composé essentiellement de membres du groupe d’extrême droite Pravy Sektor, qui ne cache nullement son idéologie néonazie.

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L’emblème que portent les membres du bataillon Azov (en jaune et bleu et à droite sur cette réclame utilisée pour collecter des fonds) se distingue par la présence du « Wolfsangel », une des runes les plus utilisées dans l’imagerie du III Reich.

En outre, comme on peut le constater, l’emblème que portent les membres du bataillon Azov accorde une bonne place au Wolfsangel (en allemand, « le crochet du loup »), l’une des runes fétiches des nazis, utilisée aussi comme signe de ralliement par le parti neonazi ukrainien Svoboda.

Depuis le début de l’opération punitive du régime de Kiev dans les régions sous contrôle des séparatistes, le ministère de l’Intérieur ukrainien a formé plusieurs bataillons, notamment les bataillons Azov, Aidar, Donbass, Dniepr-1 et Dniepr-2, financés par l’oligarque Ihor Kolomoïsky.

Nommé gouverneur de la région de Dnepropetrovsk après le coup d’État de Maïdane, Ihor Kolomoïsky est considéré aussi comme le pourvoyeur de fonds de Pravy Sektor.


 

Les Etats-Unis lancent leurs premières frappes contre l'EIIL

Les États-Unis ont lancé leurs premières frappes aériennes contre l'État islamique en Irak et au Levant (EIIL) selon le commandement central de l'armée US. Son objectif est d'affaiblir et de détruire cette organisation.

Un avion américain a frappé des positions islamistes au sud-ouest de Bagdad, elles-mêmes aux reprises avec les combattants irakiens au sol. Les premières frappes s'étaient limitées à défendre les intérêts américains.

Le Président Barack Obama a annoncé le 10 septembre depuis la maison Blanche l'expansion de la mission des États-Unis contre l'EEIL. Un officiel américain a précisé que le Président a décidé de procéder également à des frappes aériennes en Syrie où l'EEIL bénéficie d'un «refuge sûr ». Obama examine les options proposées par le département de la Défense afin de détruire l'organisation islamiste radicale.


L'EI a pris le contrôle de 60 villages kurdes en 48H dans le nord de la Syrie

EIIL

Les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) ont effectué une percée fulgurante dans le nord de la Syrie, en prenant le contrôle de 60 villages kurdes en 48H, dont 40 vendredi, autour d'Aïn al-Arab (Kobané en langue kurde), a affirmé une ONG.

Depuis 48 heures, ils ont pris 60 villages, dont une quarantaine dans la seule journée de vendredi. Les combattants kurdes battent en retraite car le rapport de force leur est défavorable, a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Il y a 800 habitants de ces villages dont le sort est inconnu, a-t-il ajouté.

Fuyant cet assaut et craignant les terribles exactions que cette organisation ultra-radicale fait subir à ceux qui tombent entre ses mains, plus de 5.000 habitants de la région ont fui vers la Turquie voisine, qui a été contrainte d'ouvrir sa frontière.


Farage : "Arrêtons de jouer à la guerre avec la Russie"

Nigel Farage accuse les pro-européens d'avoir aidé les ukrainiens à préparer le coup d'état qui a débouché sur le renversement du président Yanukovych. Si nous voulons une guerre avec la Russie, nous sommes sur la bonne voie selon le député britannique.

 


 

Qu'ont en commun les guerres en Ukraine, à Gaza, en Syrie et en Libye ?

Pour le géopoliticien mexicain Alfredo Jalife-Rahme, la simultanéité des événements éclaire leur signification : après avoir annoncé la création d'une alternative au Fonds monétaire international et à la Banque mondiale, donc au dollar, la Russie doit faire face en même temps à l'accusation d'avoir détruit le vol de la Malaysian Airlines, à l'attaque de Gaza par Israël soutenu par les renseignements militaires US et britanniques, au chaos en Libye et à l'offensive de l'Émirat islamique au Levant. En outre, sur chacun de ces théâtres d'opération, les combats tournent autour du contrôle des hydrocarbures, dont le marché était jusqu'ici exclusivement opéré en dollars. 

20 juillet 2014 - Les calendriers, les organigrammes, les schémas d'information et les généalogies sont des plus utiles à l'analyse géopolitique. Ainsi, deux jours avant que le mystérieux missile ne fasse exploser en l'air l'avion de la Malaysia Airlines - événement aussi nébuleux que ce qui s'est passé avec ses deux vols récents - a pris fin le sixième sommet des BRICS et de certains pays membres de l'UNASUR, notamment la Colombie et le Pérou. 

Un jour avant le tir du missile mortel, Obama a augmenté la pression exercée contre la Russie et ses deux ressources inextricables que sont les banques et les ressources énergétiques. « Pure coïncidence », le jour où le mystérieux missile a été tiré en Ukraine, « Nétanyahu, à la tête d'un État possédant l'arme nucléaire, a donné l'ordre à son armée d'envahir la bande de Gaza », comme l'a si bien fait remarquer Fidel Castro dans sa dénonciation du gouvernement putschiste ukrainien qu'il a accusé d'avoir manié une « forme inédite de provocation » sous la férule des États-Unis. 

Que peut bien donc savoir de cette affaire le vieil empêcheur de tourner en rond des Antilles ? 

Alors que le mystérieux missile mettait en miettes l'avion de la Malaysia Airlines, Israël, un État raciste et ségrégationniste, envahissait la bande de Gaza, contrevenant ainsi aux résolutions de l'ONU et « se mettant à dos l'opinion publique internationale », comme l'a déclaré l'ex-président Bill Clinton. 

Simultanément à la « coïncidence » (dixit Castro) des objectifs géopolitiques concernant l'Ukraine et la bande de Gaza, les affrontements de type confessionnel et pour le contrôle des ressources énergétiques ont pris de l'ampleur dans les trois pays arabes jugés « défaillants » par les stratèges états-uniens que sont la Libye, la Syrie et l'Irak, sans parler des guerres au Yémen et en Somalie. 

En Libye, pays balkanisé et anéanti en raison de l'intervention « humanitaire » menée par la Grande-Bretagne et la France sous la supervision hypocrite des États-Unis, les milices rebelles des brigades Zintan ont barré, rien que deux jours avant le tir du mystérieux missile en Ukraine, tous les accès à l'aéroport international de Tripoli (la capitale), tandis que se sont multipliés les affrontements entre les clans rivaux à Benghazi d'où provenaient les armes destinées aux djihadistes de Syrie et d'Irak et où l'ambassadeur des États-Unis a bizarrement été assassiné. 

Au-delà de l'interconnexion des flux d'armes entre la Libye, la Syrie et l'Irak dans la région d'Al-Qaïda/Al-Nusra et du nouveau califat de l'Émirat islamique (Daesh), l'essentiel pour les multinationales du pétrole, du gaz et de l'eau états-uniennes, britanniques et françaises est de contrôler les matières premières (gaz et eau douce) de la Libye où la Russie et la Chine se sont naïvement fait avoir. 

Quant à l'appropriation du pétrole irakien par le couple Grande-Bretagne - États-Unis, qui a valu à l'Irak, pays également balkanisé et anéanti, « une guerre de 30 ans », il serait mortellement ennuyant de revenir sur cette évidence. 

Lors de mon récent séjour à Damas où j'ai été interviewé par Thierry Meyssan, le président du Réseau Voltaire, celui-ci m'a confié que la soudaine volte-face de « l'Occident (quoi que l'on entende par là) » contre Bashar El Assad est due en grande partie - en plus des gisements de gaz se trouvant sur la côte méditerranéenne - à la pléthore de gisements de pétrole que possède la Syrie à l'intérieur du pays, gisements qui sont désormais contrôlés par le « nouveau califat du XXIe siècle (Daesh) ». 

L'interdépendance entre le pétrole et le gaz refait surface à Gaza cinq ans après l'opération « Plomb durci », dont l'opération « Bordure protectrice » (sic) en cours a repris la stratégie sans qu'une enquête ait établi de manière concluante qui sont les responsables de l'horrible assassinat de trois jeunes israéliens - comme l'avait prévu, de manière prémonitoire, Tamir Pardo, le chef « visionnaire » du Mossad - et qui a servi de prétexte à une énième invasion israélienne de la bande de Gaza et causé la mort d'un grand nombre d'enfants. 

Pour le géographe Manlio Dinucci, du journal italien Il Manifestola pléthore de gisements de gaz dont regorge la zone maritime de la bande de Gaza est l'une des raisons de l'irrédentisme israélien. 

Tout comme la pléthore de gisements de gaz de schiste dont regorge la République autonome de Donetsk, qui cherche à se séparer de l'Ukraine ou à se fédérer avec elle, est à l'origine de la féroce guerre psychologique que se livrent les médias pro-UE et prorusses pour rejeter sur l'adversaire la responsabilité de l'explosion de l'avion de la Malaysia Airlines. Ne pourrait-il pas s'agir d'une opération montée par le gouvernement ukrainien pour incriminer les séparatistes à l'aide « d'enregistrements » qui peuvent très bien avoir été trafiqués pour pouvoir les accuser de « terrorisme » et ainsi les anéantir ? 

Cela fait deux mois que la chaîne Russia Today (RT), de plus en plus regardée en Amérique latine pour contrer la désinformation des médias israélo - anglo-saxons - ce qui lui a valu d'être vouée aux gémonies par le secrétaire d'État John Kerry - souligne l'importance du gaz de schiste dans la région de Donetsk (la partie orientale de l'Ukraine qui veut obtenir son indépendance) et se demande si « les intérêts des pétrolières occidentales ne seraient pas derrière la violence ». 

En effet, la partie orientale de l'Ukraine, aujourd'hui en pleine guerre civile, regorge « de charbon et d'une myriade de gisements de gaz de schiste dans le bassin de Dnieper-Donets ». En février 2013, la pétrolière britannique Shell a signé avec le gouvernement ukrainien (le précédent, celui qui a été déposé par un coup d'État néonazi soutenu par l'UE) un accord de répartition des profits d'une durée de 50 ans pour la prospection et l'extraction du gaz de schiste dans la région de Donetsk. 

D'après la chaîne RT, « les profits que Kiev ne veut pas perdre » sont tels que le gouvernement ukrainien a entrepris une « campagne militaire [disproportionnée] contre sa propre population ». 

L'année dernière, Chevron a signé un accord similaire (avec le même gouvernement déposé) d'une valeur de 10 milliards de dollars. 

Hunter Biden, le fils du vice-président des États-Unis, vient d'être nommé au conseil d'administration de Burisma, le plus gros producteur de gaz privé (supersic) en Ukraine, ce qui « donne une nouvelle perspective à l'exploitation du gaz de schiste ukrainien » dans la mesure où « il est détenteur de permis qui couvrent le bassin de Dnieper-Donets ». John Kerry ne demeure pas en reste en ce qui a trait à la répartition des profits et Devon Archer, son ancien conseiller et colocataire de son beau-fils, s'est joint en avril à Burisma, cette entreprise qui suscite la polémique. 

Les « permis » d'aliénation cadastrale pour exploiter le gaz de schiste ukrainien peuvent-ils servir de « permis de tuer » des innocents ? 

La fracturation hydraulique est-elle en train de fracturer l'Ukraine ? Telle a été une constante de la tragique histoire de l'exploitation des hydrocarbures par les pétrolières « occidentales » au XXe siècle. 

Force est de constater que les hydrocarbures constituent le dénominateur commun des guerres en Ukraine, en Irak, en Syrie et en Libye. 


 

Union européenne : déceptions à tous les étages

 

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Il y a encore deux ou trois ans, nous étions de ceux qui militions, notamment sur le site europesolidaire, pour le renforcement de l'Union européenne. Peut-être pas son extension géographique, mais l'extension de ses compétences. Cela au point de recommander le passage à une structure fédérale démocratique, sur le modèle constitutionnel des États-Unis d'Amérique. Aujourd'hui nous sommes bien obligés de constater que nous allons dans une direction diamétralement opposée, poussés en cela par les Américains, à qui nous cédons en plus avec force courbettes. 

Cependant, nous avions suffisamment étudié la façon dont, dans les années soixante, ces mêmes États-Unis avaient impulsé la construction d'une Union européenne conçue pour servir leurs intérêts géopolitiques et économiques. Nous n'avions donc pas d'illusion sur ce point. L'instrumentalisation de l'Europe par l'Amérique allait se poursuivre. Mais nous pensions, étant de ceux qui avaient professionnellement participé à la mise en place de l'euro, que celui-ci serait un outil très important, qui permettrait à l'Europe de commencer à s'affranchir de la domination du dollar, et par conséquent de Washington. 

Endormies par la domination US,les élites dominantes européennes se sont refusées à tout effort de construction d'une Europe indépendante 

D'une part en effet les gouvernements européens, soutenus en cela par leurs opinions publiques (qu'ils ont largement manipulées en ce sens), ne firent aucun effort pour construire ce qui aurait dû être une Europe puissante, souveraine et indépendante, selon le mot de l'un d'entre nous. Cela aurait exigé beaucoup de sacrifices de la part d'un continent qui, bien qu'encore la 3e puissance économique du monde, se refusait à investir dans les industries nouvelles et dans les sciences, au contraire de ce qu'avait toujours fait l'Amérique. Un continent qui par ailleurs refusait l'idée même de se doter d'une défense militaire en propre, face à une Amérique devenue une hyper-puissance militaire. Sous la pression des importateurs et de la grande distribution, l'objectif était devenu en Europe de consommer toujours davantage de biens et services produits ailleurs. Les services publics, encore forts dans l'Europe des années 1980, étaient désormais considérés comme des centres de coût, nuisibles, dont il fallait se débarrasser, au profit du secteur libéral, secteur lui-même profondément pénétré par son homologue américain, 

Les yeux en Europe ne s'ouvraient pas encore, dans la fausse quiétude d'un continent resté, sous le parapluie américain, à l'écart des conflits. Les élites dominantes européennes, qui construisaient les opinions publiques par l'intermédiaire de médias asservis à leurs intérêts, trouvaient suffisamment de profits dans le jeu de la spéculation financière internationale, pour se donner le mal d'investir dans des secteurs à risques, en visant objectifs à long terme. Le centre de ce jeu de la spéculation financière, qui fut nommé le néo-libéralisme, se trouvant à Wall Street, à Londres, accessoirement au Luxembourg et en Suisse, les élites dominantes européennes se refusaient en pratique à tout effort de construction d'une Europe indépendante dont chaque citoyen européen aurait pu bénéficier, notamment en termes d'emploi et de formation. Cela aurait exigé, selon le mot de Churchill, du sang de la sueur et des larmes, qui les aurait éloignés de la facilité des jouissances à court terme. 

Un rapprochement de l'Europe avec la Russie ? Impensable pour les US... 

Cela étant, ces mêmes élites européennes n'étaient pas très incitées à servir de fer de lance dans la guerre que les États-Unis, via notamment l'Otan, avait continué à mener sans interruption contre la Russie, la seule puissance capable de leur faire de l'ombre, même compte tenu de l'émergence de la Chine et des autres États du Brics (Brésil, Inde et Afrique du Sud). Les Européens s'accommodaient très bien au contraire d'une ouverture économique et politique vers l'Eurasie. Cette ouverture leur permettait d'échanger dans un intérêt réciproque des potentialités différentes. Une sorte d'axe de fait euroBRics commençait à s'esquisser. Mais ce n'était pas acceptable pour Washington. L'Amérique aurait vu ainsi lui échapper progressivement son contrôle sur les pays européens, au profit d'une Russie qu'elle avait toujours décidé, et plus que jamais, afin d'assurer sa propre cohésion, de traiter en ennemi héréditaire. 

... qui n'hésite pas à dérouler un scénario tragique pour arriver à ses fins 

Avec la crise financière de 2008, principalement née à Wall Street, voire provoquée par certains de ses représentants, un scénario tragique s'est ouvert pour l'Europe. Affaiblie, avec ses élites dirigeantes, qui se refusaient à utiliser la souveraineté monétaire que lui donnait l'euro afin d'échapper au dollar, l'Europe se trouvait plus que jamais contrainte d'accepter la tutelle politique, économique et technologique (via Internet) que lui imposait l'Amérique. Le moment était donc venu pour les États-Unis d'obliger les Européens à rompre tous les liens qu'ils commençaient à esquisser avec l'Eurasie, et à rentrer frileusement dans le bercail américain. Mais il fallait pour cela un prétexte. Il fallait pouvoir relancer une nouvelle guerre froide, faisant de l' « ogre russe » l'ennemi à combattre, quels qu'en soient les coûts pour l'Europe. 

L'affaire de l'Ukraine, provoquée quasi exclusivement par la diplomatie américaine du dollar et les forces spéciales associées (y compris ses ONG), a fourni l'occasion que l'on connait. Inutile d'y revenir. Mais il s'agit bien en effet d'un scénario tragique pour l'Europe : elle s'est trouvée engagée dans une guerre-éclair contre la Russie, poursuivie par une guerre des sanctions, dont elle est seule à supporter les conséquences. Les rêves d'euroBrics s'évanouissent, comme les perspectives de développement qui en découlaient. La Russie se trouve rejetée, pas toujours de bon gré d'ailleurs, vers l'Asie, au détriment de ses affinités européennes. Mais, une fois reconvertie dans le cadre d'un Brics musclé et dédollarisée, elle n'aura aucune incitation à retrouver ses liens naturels avec l'Europe. Ce qui est perdu restera perdu. 

L'Europe réagira-t-elle ? 

Les dirigeants européens ne semblent pas se préoccuper des suites d'une dépendance à l'Amérique qu'ils ont toujours revendiquée. François Hollande se montre même le plus extrémiste de tous à cet égard. Mais, comme Washington, empêtré dans ses propres problèmes, ne fera rien pour aider les Européens, ils s'enfonceront de plus en plus dans le sous-développement. Certains optimistes pensent que les opinions européennes n'accepteront pas cela indéfiniment, que de nouveaux gouvernements seront mis en place pour sonner le réveil, sortir de l'Otan, se dédollariser en utilisant judicieusement l'Euro, renouer des contacts avec la Russie et le Brics. 

Est-ce qu'une reconfiguration géopolitique majeure pourrait en résulter, comme le pensent les experts de GEAB [1] ? L'avenir le dira. En attendant, rien n'empêche ceux qui continuent, en dépit du bon sens à « croire en l'Europe », de poursuivre le combat. 


 

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Les enfants européens scotchés à leur télé

Malgré la concurrence d'internet, les enfants européens passent encore deux heures par jour devant la télévision, constituant une audience fidèle que les chaînes se disputent âprement, selon une étude. 

En France, en Allemagne, en Italie, en Espagne et au Royaume-Uni, les enfants ont en moyenne regardé la télévision 2 heures et 6 minutes par jour au 1er semestre, soit 9 minutes de moins qu'en 2013 et 3 minutes de moins qu'en 2009, d'après l'étude publiée jeudi par Eurodata TV Worldwide. Des aléas minimes que la météo peut expliquer. 

En France uniquement, les enfants âgés de 4 à 14 ans ont eux aussi passé en moyenne 2 heures par jour devant le petit écran. Les 2-14 ans n'auraient regardé des vidéos sur internet que 4 heures 2 minutes par mois. 


Thailande : une star du porno en couverture d’un livre scolaire
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En Thaïlande, une maison d’édition a fait une belle boulette. Ils ont en effet édité et distribué 3000 exemplaires d’un livre de mathématiques dans des écoles avec, en couverture, une photo d’une actrice porno japonaise, répondant au nom de Mana Aoki. 

Une star du porno en couverture d’un livre scolaire

La maison d’édition MuangThai Book Center est une institution sérieuse. Ils ont néanmoins fait une erreur incompréhensible. Leur dernier manuel scolaire a été distribué dans les écoles du pays avec en effigie une actrice X japonaise dans une tenue de working-girl. Si la photo a du bien faire rire l’actrice, les directeurs d’écoles et les parents d’élèves ont beaucoup moins été amusés.  Mana Aoki est ainsi une star du X au Japon, et il est fort possible que des jeunes pré-pubères thaïlandais la connaissent.

Comme le relève Rocket News 24, la couverture en question présente une jeune institutrice habillée en tenue de working-girl portant des lunettes, superposée sur des graphiques kitsch et colorés.

Comme le souligne le Figaro, avec plus de 11.000 retweets, cette histoire a fait sensation en Thaïlande, Du coup, le manuel scolaire a été retiré immédiatement de la vente. MuangThai Book Center, la maison d’édition, a expliqué avoir choisi la photo de manière aléatoire sur Internet et a présenté dans la foulée ses excuses. Mais n’auraient-ils pas mieux fait d’embaucher un photographe afin qu’il prenne en photo une illustre inconnue?

Sources : Le Figaro, le Huffington.


ECOSSE : Les retombées du « non » au référendum
metronews.fr

 

Suite au grabuge au sujet de l’indépendance écossaise et la victoire finale du « non » (55,4%) au référendum, Londres a pris ses décisions quant au statut de l’Ecosse dans le Royaume-Uni. Deux poids, deux mesures.

ECOSSE : Les retombées du « non » au référendum

Tout d’abord, Londres a décidé que les membres du Parlement britannique élus dans des circonscriptions écossaises ne seront plus autorisés à émettre un avis sur les questions exclusivement anglaises en matière d’éducation ou de santé par exemple. C’est une manière pour l’Angleterre de conserver son statut de souverain du royaume après le bruit généré par les écossais. C’est aussi une manière de dire à l’Ecosse de rester à sa place malgré les privilèges que cette dernière va recevoir dans une autre mesure.

Michael Gove, député écossais déclare : «Si des décisions sont prises qui n’affectent que les gens en Angleterre, ou seulement les habitants d’Angleterre, du Pays de Galles et d’Irlande du Nord, nous devons respecter plus clairement les vœux des habitants de ces pays»

La Reine Elizabeth II, qui s’était montré très impliquée dans cette affaire sociale et avait appelé tout le monde a bien réfléchir avant de voter, publiera ce vendredi 19 septembre une lettre à destination du Royaume-Uni entier. Le premier Ministre, David Cameron est attendu aujourd’hui par les écossais et les députés du Parlement pour s’expliquer sur les privilèges accordés à l’Ecosse mais aussi sur lamesure West Lothian, celle qui consiste a interdire les députés écossais de parler des affaires anglaises.


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Référendum en Ecosse: les rumeurs de fraude s’amplifient

A Glasgow« La police enquête sur dix cas de fraude électorale. »
Les électeurs se sont rendus dans les bureaux de vote et se sont apercu que des gens avaient déjà voté en utilisant leurs noms.
Les agents de police ont retirer les bulletins de vote concernés.
Les papiers étaient de 10 boîtes différentes sur Glasgowet ne se concentrent pas dans une région.

une alarme incendie a entraîné l’évacuation de l’immeuble où le vote était compté.
A Dundee, dans une forte zone de OUIle vote a été suspendu deux fois en raison des alarmes d’incendie.

Dans Dundee, des bulletins de vote «oui ont été repérés sur un« Non ».

On prévoyait que le comté connu sous le nom Clackmannanshire  vote OUI.
Mais il a été annoncé que le NON avait obtenu 54% des voix dans Clackmannanshire.
En Ecosse, dans son ensemble, le NON a obtenu plus de votes que les sondages avaient prédit.

 « des enfants de trois ans ont été inscrits pour voter et ont reçu des cartes de vote. »

Selon Scotland on Sunday « une plainte officielle doit être faite au directeur du scrutin au Conseil Ayrshire après que les activistes ont découvert qu’au moins quatre enfants de la région âgés entre trois et 11 ans avaient reçu des cartes de vote. »

En 1979 dévolution référendumcertaines personnes décédées ont  voté.
http://www.dailyrecord.co.uk.

Maureen Mackay dit sur « Scotland on Sunday« Le problème est que notre système électoral indique que tout ce que vousavez à faire, est de dire où vous habitez. Il n’y a pas de vérification sur qui vous êtes. Ni de savoir si tous les votesenregistrés pourraient être utilisés par des adultes au nom de ces enfants« 

un sondage a révélé. qu’un écossais sur quatre croit que le Mi5 travaille avec le gouvernement britannique pour empêcher l’indépendance,

Le sondage a révélé aussi que beaucoup pensaient que le vote référendaire serait truqué.

Article intégral+vidéo sur Ray Distance


 

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Le taux d'obésité atteint des records aux Etats-Unis

Le taux d'obésité chez l'adulte a augmenté dans six états américains et n'a baissé dans aucun l'an dernier.  Dans vingt états, on compte un taux d'obésité d'au moins 30 %, selon une analyse.

Les conclusions ont été présentées par le "Trust for America's Health and the Robert Wood Johnson Foundation"et basées sur les données du gouvernement fédéralLes centres de contrôles et préventions pour la santé ont rapporté que le taux d'obésité varie de 21,3 % dans le Colorado à un sommet de 35,1 dans le Mississippi et la Virginie occidentale.

La plus forte prévalence de l'obésité est dans le Sud (30,2 %et le Midwest (30,1 %), suivi par le Nord-Est (26,5 %) et l'Ouest (24,9 %).

Les nouveaux chiffres laissent à penser que le problème s'est aggravé malgré une large publicité à propos del'épidémie d'obésité dans le pays. De 2011 à 2012, par comparaisonle taux d'obésité n'avait augmenté quedans un seul état.

Le taux d'obésité des adultes en 2013 dépasse 20 % dans chacun des états, tandis que dans 42 d’entre eux, on compte un taux supérieur à 25 %Pour la première fois, deux états, Mississippi et la Virginie occidentale, sont passés au-dessus de 35 %Le taux d'obésité chez l'adulte a augmenté l'an dernier en Alaska, dans le Delaware, dans l'Idaho, le New Jersey, le Tennessee et le Wyoming.



 

 

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Jour J pour les fans de la marque à la pomme : les nouveaux iPhone 6 et iPhone 6 Plus sont commercialisés à partir d'aujourd'hui. Malgré un nombre limité d'améliorations, tout porte à croire que ce sera un nouveau succès pour Apple.

Si l’on regarde les choses froidement, ces nouveaux iPhone, 6 et 6 Plus, ne sont pas en rupture avec les précédents modèles. Mais est-ce la rupture que les consommateurs recherchent aujourd’hui et peut-on regarder les choses froidement lorsqu’il s’agit d’Apple ?
 
Nouvelle taille et paiement sans contact 
 
Première nouveauté : la taille. Si vous trouvez que votre iPhone actuel est trop petit, vous serez séduit par ces nouveaux appareils. L’iPhone 6, notamment, avec son écran légèrement plus grand (4.7 pouces) sans être trop encombrant, est une réussite. Le 6 Plus s’adresse à ceux qui veulent vraiment un grand format (5.5 pouces), comme le Galaxy Note de Samsung. Attention, on n’est pas loin alors de l’iPad mini avec lequel cela risque donc de faire double emploi. En tout cas, sur les deux modèles, l’écran est magnifique en terme de luminosité et de contraste.

Ce qu’il y a de neuf ? C’est l’intégration de la technologie NFC pour payer sans contact mais cela ne fonctionne pas pour l’instant en France. L’appareil photo ne compte que 8 mégapixels, ce qui est très en deçà de la concurrence, mais il gagne en sensibilité et en rapidité et il a fait ses preuves sur les précédents modèles. Il arrive souvent en tête des tests de qualité. Enfin, le design est simple mais somptueux. Hormis une petite faute de goût due à une contrainte technique : l’objectif est légèrement proéminent à l’arrière. Steve Jobs n’aurait pas aimé ça…
 
Peu de changement mais un succès assuré
 
Apple a déjà battu des records de pré-réservations. D’ailleurs, c’est amusant, c’est le plus grand modèle qui séduit le plus les consommateurs. Il faut bien dire que, malgré l’absence de nouveautés réelles, l’iPhone reste un excellent smartphone. Les habitués apprécient le logiciel iOS (ici en version 8) et l’écosystème Apple, toujours aussi fermé mais toujours aussi convivial.

Le capteur d’empreinte digitale reste présent sur ces nouveaux modèles. Malgré une meilleure batterie et un processeur soi-disant moins gourmand, l’autonomie n’a pas vraiment été améliorée. Elle est d’une petite journée en charge. Côté solidité, la marque à la pomme a dû renoncer à équiper ses produits avec une façade en verre saphir, trop cher. Ce matériau est seulement présent dans l’objectif photo-vidéo. Autre regret : contrairement à certains produits concurrents : les nouveaux iPhone ne sont pas étanches.

En revanche, ils sont toujours aussi chers : 700 à 1 000 euros. 




 

 

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