Aujourd'hui nous sommes le 8 Men ou le 28 août 2014

8 : l’infini ,ce qui est en bas est en haut, la justice.

Men : l’aigle, la vision

Vision à travers le plexus solaire.

Défi de vie : Concilier attentes et vie quotidienne.  Conserver des liens avec les autres.

Solution de vie : Approfondir sa connaissance de la nature humain

Un 8 c’est 2 ronds entrelacés le bas représente la matière, le haut représente le subtil

La conscience de la forme humanoïde évolue inlassablement sur la partie basse du 8, c’est pourquoi par exemple elle confond amour/ego et véritable amour.

 Amour/ego  n’est en aucun cas de l’amour et ne ressemble en rien à de l’amour même si la personne est convaincue du contraire.

 D’ici, de cet observatoire, nous avons une vu globale sur ce que la forme humanoïde appelle temps, et ce que nous observons de ce que la forme appelle amour, n’est finalement qu’un accaparement lié a une peur, celle de manqué. En effet la forme humanoïde (l’ego) est toujours en manque de quelques choses, parce qu’il ne peut vivre dans le présent. Il a le besoin inlassable de toujours revenir sur un passé qui n’existe plus, ou sur un future, qui lui n’on plus n’existera pas comme il le prévoyait, et c’est normal puisque l’égo en une construction du mental collectif et individuel qui ne peu simplement pas existé sans qu’une forme l’aie construit.

Majoritairement la forme incarnée sur cette planète, s’accapare inconsciemment ou parfois même consciemment une ou plusieurs personnes et si pour un temps une personne ne va pas dans le sens de l’autre, alors c’est la dispute et pour finir la rupture. Comme si l’amour pouvait être rompu par un événement ou quelque chose.

Nous voyons clairement l’égo infatigable, fabriqué par la personnalité, pédaler à toutes blindes dans un océan d’incompréhension. Mais cela est néanmoins une étape nécessaire et importante pour la forme humanoïde, qui expérimente,  à travers la matière et qui découvrira petit à petit, que le véritable amour ne peu ce trouvé en-dehors de lui-même, car il est lui-même l’amour incarné dans une forme qui elle-même expérimente l’amour à travers l’expérience de la séparation.