Voyageons a travers le décors de la frustration du jour de la forme Humanoïde Aujourd’hui le 5 ben ou 17 juillet 2014
Voyageons à travers la frustration du jour de la forme Humanoïde. Aujourd’hui le 5 Ben ou le 17 juillet 2014.
Le 5 : le pouvoir, le centre du cube.
Ben : le voyageur galactique, bien informé et militant.
(Le jour de la colonne vertébrale)
-Maman j’ai faim !! C’est quand qu’on mange !!!
- À 20 h chérie
-on mange quoi ?
-un J.T !!!
(Ça vous énerve que vos enfants jouent toute la journée enfermée dans leurs chambres aux jeux vidéo n’est-ce pas ?
Et bien ! C’est ce que vous faites vous aussi. Sauf que vous, vous n’êtes pas enfermé dans vôtres chambre, mais vous êtes enfermé dans votre personnage, dans celui que vous croyez être .et ceci est exactement pareil. Regardez vos enfants attentivement, car ils vous montrent ce que vous êtes et vous reflète ce qu’ils seront tant que vous ne sortirez pas de votre rêve.)
L’Encodage des jeunes cerveaux de formes humanoïde bat son plein. Toujours plus loin, toujours plus vite.
Selon une étude du "Parisien - Aujourd'hui en France", plus de 500 000 enfants regardent le journal télévisé, ils sont parfois confrontés (formatés) à des images choquantes.
Les générations avenir sont parfaitement au courent de cette tentatives d’encodage et c’est pour cela qu’ils s’incarnent. Afin d’expérimenté la frustration/séparation au maximum. Pour qu’un jour ils puisse intégré en eux l’unité.
Un autre article qui confirme la vitesse et le besoin d'encoder rapidement des enfants adultes
.
Au zoo de Saint-Louis, Monsanto se charge « d’éduquer » les enfants à l’écologie
Monsanto, le géant de la biotechnologie qui modifie génétiquement les semences, utilise maintenant ses millions de dollars de profits en excès pour installer des centres de formations dans les zoos publics. Dans une tentative d’apparaître écologique et soucieux de l’environnement, Monsanto finance un centre d’éducation au zoo de Saint Louis pour accompagner leur nouveau « Monsanto Insectarium, » qui (dés)informe déjà le public sur les insectes et l’écosystème.
L’hypocrisie totale de cet insectarium Monsanto semble être de protéger les abeilles, les coléoptères et d’autres insectes qui jouent un rôle important dans l’environnement.
Quiconque est familier avec Monsanto et leurs pesticides Roundup, sait que les produits chimiques de Monsanto ravagent l’écosystème. Leurs produits chimiques tuent les populations de coléoptères et sauterelles et contribuent à la mortalité des colonies entières d’abeilles. Cependant, leur royaume des insectes au zoo de Saint Louis dépeint un tableau très différent d’eux-mêmes.
En entrant dans l’insectarium, les enfants peuvent grimper sur une sculpture d’un coléoptère centaurus en acier de huit pieds et poser pour une photo. L’aire d’exposition s’ouvre et affiche un large éventail de plus de 100 espèces d’insectes vivants, des informations sous chaque exposition, expliquant l’importance de chaque insecte.
En marchant à travers l’exposition, nous constatons des enfants et des adultes «éclairés» par des informations utiles sur les insectes, et le malaise croit lorsque connait la vérité sur ce que Monsanto fait vraiment à l’écosystème. Alors que le mot «Monsanto» devient associé dans l’esprit des gens avec des insectes vivants et un écosystème florissant, le public est délibérément menti, trompé, trahi.
Monsanto détruit les populations d’abeilles
Monsanto, le mastodonte de Saint Louis est l’ingénieur en chef de semences génétiquement modifiées. En encourageant les agriculteurs à produire autant d’une culture que possible, Monsanto a certainement augmenté la productivité alimentaire dans une perspective globale. Mais cette efficacité génétique implique un prix élevé: dommages à l’environnement, dépendance au pétrole, et destruction de la santé des gens. Leur semences, qui poussent sous certaines conditions, sont fabriquées pour résister à leur propre insecticide et sont développées pour répondre à leurs propres marques d’engrais.
Les plantes génétiquement modifiées qu’elles induisent finissent par produire du pollen génétiquement modifié. Ce pollen perturbé est ingéré par les abeilles. Au final, les abeilles ne peuvent pas digérer ce pollen modifié et elles meurent à cause de cela.